Vue d’ensemble des travaux publicitaires réalisés en cours

Le bachelier publicitaire comprend la réalisation d’exercices pratiques plongeant l’étudiant dans une immersion fictive du corps de métier.

Chaque cours comprend une série d’ouvrages à réaliser pour lesquels le professeur établira une appréciation. Celle-ci enrichira la cote de travail journalier, jouant une partie de la cotation finale post examen.

Français : Actualidée

Les actualidées consistent à exprimer un sujet d’actualité, un fait divers quelconque en dessin. C’est le dessin de presse, il consiste à exprimer l’actualité à travers une illustration figurative et satirique. La difficulté de l’exercice est de choisir judicieusement les illustrations pour bien faire passer le message et que le public comprenne directement de quoi il s’agit. La seconde difficulté est le choix des dialogues. En effet, un dessin de presse contient peu de texte, pour autant qu’il en contienne. C’est pour cela qu’il doit être au préalable bien réfléchis et rédigé. Attention à ne pas tomber dans l’excès de texte et à ne pas choquer le public sur des sujets tabous.

Création publicitaire : Insight – Affiche 20m²

Travail de recherche d’insight autour de la marque Pattex, destiné à figurer dans un magasine.
« Depuis 1956 »
Insight autour du chokotoff Cote d’Or : « Le chokotoff possède des vertus bénéfiques pour la santé »
Affiche de 20m² pour le géant du jouet Danois : « Créez sans limites »

Infographie : Pecha Kucha

Principe du Pecha Kucha : C’est un format de présentation orale avec un support de 20 diapositives se succédant toutes les 20 secondes. La durée totale de la présentation est donc de 6 minutes et 40 secondes. Pas une de plus !

Ma présentation Pecha Kucha portait sur un service connu : IFTTT (If this then that)

Exemple de diapositive power point sur IFTTT.

Histoire de l’art : Salon du bon vouloir

Ce travail consistait de présenter une oeuvre et de justifier son choix.

Œuvre choisie : Le génie du diable ; David Coppens.

Lors de mon entrée à l’exposition, j’ai rapidement fait un premier tour afin de visualiser grossièrement toute les œuvres. Malheureusement, je ne me suis pas attardé sur une réalisation en particulier car je les trouvais toutes artistiquement et visuellement à mon goût. En effet, qui suis-je pour aimer ou ne pas aimer une œuvre d’art ? Dispose-je des capacités nécessaires en histoire de l’art pour prétendre qu’une quelconque œuvre est mal réalisée ?

Néanmoins, lors de mon second passage plus approfondi, je me suis tout de même attardé sur quelques œuvres. Quels ont été mes critères de sélection ? Tout d’abord, j’ai été attentif au contenu. J’aime les dessins remplis, les toiles où beaucoup d’éléments s’y trouvent. J’aime lorsqu’il faut s’y attarder, déchiffrer l’œuvre pour la comprendre. J’ai éliminé de ma sélection toutes les œuvres que je qualifierai de « simpliste ». En effet, j’ai souvent du mal à aimer quelques trais sur une toile blanche, je pense que l’art ne suffit pas à l’émission d’un message, je trouve qu’elle doit être travaillée, j’ai le besoin de ressentir que l’artiste s’est attardé sur son travail. Pour l’œuvre de David Coppens, j’ai perçu une certaine application de sa part.

Ensuite, lorsque mon premier critère est validé, je me plonge seulement dans la toile. Je tente avec mes capacités historiques de me situer dans le temps, dans le thème et dans l’univers de l’artiste. Ici, Le génie du diable m’a plongé dans un cadre spatio-temporel antérieur, à l’apogée du christianisme où le diable alias Lucifer semait la terreur dans la société de l’époque. On y voit un homme au centre, en rouge, jouant du violon, qui je pense porte le nom de l’œuvre. Je déduis que celui-ci hypnose en quelque sorte son public, qui à l’air ravi de l’air joué. On retrouve également un univers fantastique en arrière-plan, qui sort tout droit des enfers, le foyer du diable. Je n’ai malheureusement pas trouvé plus d’information concernant cette réalisation, voici donc ce que j’ai analysé personnellement.

Pour finir, le dernier élément qui a tranché ma sélection est en réalité l’auteur. David Coppens m’est familier, j’ai déjà été confronté à d’autres de ses œuvres lors de visites ultérieures. De plus, David Coppens, comme la plupart des autres artistes de l’exposition appartient au patrimoine artistique de la région. Formé à Tournai, et diplômé de l’école normale d’art plastique de Mons. J’ai décidé de choisir une de ces œuvres pour représenter et mettre en valeur notre ville, élue en 2015 capitale européenne de la culture.

Le génie du diable ; David Coppens.